A continuación la letra de la canción Padam Padam Artista: Anne Sofie von Otter, Bengt Forsberg, Norbert Glanzberg Con traducción
Texto original con traducción
Anne Sofie von Otter, Bengt Forsberg, Norbert Glanzberg
Cet air qui m’obsède jour et nuit
Cet air n’est pas né d’aujourd’hui
Il vient d’aussi loin que je viens
Traîné par cent mille musiciens
Un jour cet air me rendra fou
Cent fois j’ai voulu dire pourquoi
Mais il m’a coupé la parole
Il parle toujours avant moi
Et sa voix couvre ma voix
Padam… padam… padam…
Il arrive en courant derrière moi
Padam… padam… padam…
Il me fait le coup du souviens-toi
Padam… padam… padam…
C’est un air qui me montre du doigt
Il dit: «Rappelle-toi tes amours
Rappelle-toi puisque c’est ton tour
Y a pas de raison que tu ne pleures pas
Avec tes souvenirs sur les bras…»
Je revois ceux qui restent
Mes vingt ans font battre tambour
Je vois s’entrebattre des gestes
Toute la comédie des amours
Sur un air qui va toujours
Padam… padam… padam…
Des «je t’aime» de quatorze juillet
Padam… padam… padam…
Des «veux-tu» en voilà par paquets
Padam… padam… padam…
Des «toujours» qu’on achète au rabais
Et tout ça pour tomber juste au coin de la rue
Sur l’air qui m’a reconnue
Écoutez le chahut qu’il me fait
Padam… padam… padam…
Comme si tout mon passé défilait
Padam… padam… padam…
Faut garder du chagrin pour après
La la la la la la cet air qui bat…
Qui bat comme un coeur de bois…
Esta melodía que me obsesiona día y noche
Este aire no nació hoy
Viene de donde yo vengo
Seguido por cien mil músicos
Un día esta melodía me volverá loco
Cien veces quise decir por qué
Pero me cortó
siempre habla antes que yo
Y su voz cubre mi voz
Padam... padam... padam...
viene corriendo detras de mi
Padam... padam... padam...
me hace recordar
Padam... padam... padam...
Es una tonada que me apunta
Él dijo: "Recuerda tus amores
Recuerda que es tu turno
No hay razón por la que no puedas llorar
Con tus recuerdos en tus brazos…”
Veo a los que quedan
Mis veinte hacen sonar el tambor
Veo gestos entrelazados
Toda la comedia de los amores
A una melodía que siempre va
Padam... padam... padam...
Catorce de julio "Te amo"
Padam... padam... padam...
lo quieres en paquetitos
Padam... padam... padam...
"Siempre" que compramos con descuento
Y todo para caer a la vuelta de la esquina
A la melodía que me reconoció
Escucha los abucheos que me hace
Padam... padam... padam...
Como si todo mi pasado se estuviera desplazando
Padam... padam... padam...
Tengo que guardar un poco de dolor para más tarde
La la la la la la este aire que late...
Que late como un corazón de madera...
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