A continuación la letra de la canción On l'appelait Fleur de Fortifs Artista: Georgius Con traducción
Texto original con traducción
Georgius
Entre Malakoff et Saint-Ouen
Il y avait une pauvre bicoque
Où c’qu’habitait une fille de rien
Qu’avait des allures équivoques
La malheureuse avait seize ans
Elle n’avait plus ses père'z'et mère'z
Et, pour manger convenablement
Elle vendait des fleurs au cimetière
Et puis, le soir, elle vendait son corps
Pour s’acheter une côtelette de porc
On l’appelait Fleur-des-Fortifs
A cause qu’elle avait l’air chétif
Elle avait l'œil rébarbatif
Et f’sait l’amour en collectif
Quand on pense à tous ces oisifs
Qu’ont des bagues et des pendentifs
Y a de quoi s’arracher les tifs
Y a pas d’autre qualificatif, tif tif
Hop là !
Un soir, près de l’usine à gaz
Elle rêvait de mille tendresses
Avec un gars qui f’rait du jazz
Et qui lui f’rait vibrer la caisse
Elle aperçut un vieux vieillard
-Les vieillards ne sont jamais jeunes-
Qui la suivait dans le brouillard
A l’heure où c’que les riches déjeunent
«Que voulez-vous ?»
qu’elle lui cria
Le vieux vieillard lui dit comme ça
«On t’appelle Fleur-des-Fortifs
Fais un arrêt facultatif
Nous allons prendre l’apéritif
Je le paierai, je n' suis pas juif
J' suis vieux, mais je suis sensitif
Je rêve de petits trucs lascifs
Si tu m' fais du superlatif
Je te paierai double tarif, rif rif»
Mais elle poussa de grands cris
En reconnaissant son grand-père
«Arrière, cochonnet !»
qu’elle lui dit
Et il fit cinq, six bonds en arrière
Et, dans un sursaut de dégoût
Il s'étrangla avec sa barbe
Y se j’ta son corps dans l'égout
Tandis qu’elle s' pendait à un «arbe»
Comme quoi, y a toujours de l’honneur
Où c’qu’il y a du sens et du cœur
On l’appelait Fleur-des-Fortifs
Elle repose dessous un massif
De rhododendrons maladifs
Où l' rossignol chante, pensif
«C'est l’Etat le grand responsif
Qui laisse les filles vendre leur rosbif»
Et le merle répond, plaintif
«Tout ça, c’est bien emmerlatif !
tif tif»
Entre Malakoff y Saint-Ouen
Había una choza pobre
Donde vivía una niña sin valor
Que tenía pasos equívocos
El desgraciado tenía dieciséis
Ya no tenía a su padre'z' y madre'z
Y, para comer bien
ella estaba vendiendo flores en el cementerio
Y luego en la noche vendió su cuerpo
Para comprar una chuleta de cerdo
Se llamaba Fleur-des-Fortifs
Porque se veía enclenque
Ella tenía un ojo prohibitivo
Y hacer el amor colectivamente
Cuando piensas en todos esos ociosos
Que tienen anillos y colgantes
Hay suficiente para romper los tifs
No hay otro calificativo, tif tif
¡Hola!
Una noche cerca de la planta de gas.
Soñó con mil ternuras
Con un chico que haría jazz
Y quien le haría vibrar la caja
Ella vio a un anciano
-Los viejos nunca son jóvenes-
Quien la siguió en la niebla
A la hora en que los ricos almuerzan
"Qué queréis ?"
ella le grito
El viejo le dijo así
“Te llamamos Fleur-des-Fortifs
Hacer una parada opcional
vamos a tomar un aperitivo
Lo pagaré, no soy judío
Soy viejo, pero soy sensible.
Sueño con cositas lascivas
Si me haces superlativo
Te pagaré el doble, rif rif"
Pero ella gritó en voz alta
Reconociendo a su abuelo
"¡Atrás, cerdito!"
que ella le dijo
Y dio cinco, seis saltos hacia atrás
Y, en un suspiro de disgusto
Se atragantó con su barba
Y se j'ta su cuerpo en la alcantarilla
Mientras colgaba de un "árbol"
Como qué, siempre hay honor
Donde hay sentido y corazón
Se llamaba Fleur-des-Fortifs
Ella descansa bajo un grupo
Rododendros enfermos
Donde canta el ruiseñor, pensativo
"Es el Estado el gran responsable
¿Quién deja que las niñas vendan su carne asada?
Y el mirlo responde quejumbroso
“¡Todo eso es tan aburrido!
tif tif»
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