A continuación la letra de la canción Les bourgeois Artista: Florent Pagny Con traducción
Texto original con traducción
Florent Pagny
Le cœur bien au chaud
Les yeux dans la bière
Chez la grosse Adrienne de Montalant
Avec l´ami Jojo
Et avec l´ami Pierre
On allait boire nos vingt ans
Jojo se prenait pour Voltaire
Et Pierre pour Casanova
Et moi, moi qui étais le plus fier
Moi, moi, je me prenais pour moi
Et quand vers minuit passaient les notaires
Qui sortaient de l´hôtel des «Trois Faisans»
On leur montrait notre cul et nos bonnes manières
En leur chantant:
Les bourgeois, c´est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient bête
Les bourgeois, c´est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient…
Le cœur bien au chaud
Les yeux dans la bière
Chez la grosse Adrienne de Montalant
Avec l´ami Jojo
Et avec l´ami Pierre
On allait brûler nos vingt ans
Voltaire dansait comme un vicaire
Et Casanova n´osait pas
Et moi, moi qui restais le plus fier
Moi j´étais presque aussi saoul que moi
Et quand vers minuit passaient les notaires
Qui sortaient de l´hôtel des «Trois Faisans»
On leur montrait notre cul et nos bonnes manières
En leur chantant:
Les bourgeois, c´est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient bête
Les bourgeois, c´est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient…
Le cœur au repos
Les yeux bien sur Terre
Au bar de l´hôtel des «Trois Faisans»
Avec maître Jojo
Et avec maître Pierre
Entre notaires on passe le temps
Jojo parle de Voltaire
Et Pierre de Casanova
Et moi, moi, moi qui suis resté le plus fier
Moi, moi je parle encore de moi
Et c´est en sortant vers minuit, Monsieur le Commissaire
Que tous les soirs, de chez la Montalant
De jeunes peigne-culs nous montrent leur derrière
En nous chantant:
Les bourgeois, c´est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient bête
Les bourgeois, c´est comme les cochons
Plus ça devient vieux, plus ça devient…
Corazón cálido
Ojos en la cerveza
En casa de la gorda Adrienne de Montalant
Con el amigo Jojo
Y con el amigo Pierre
Íbamos a beber nuestros veinte
Jojo pensó que era Voltaire
Y Peter para Casanova
Y yo, yo que era el más orgulloso
Yo, yo, me tomé por mí mismo
Y cuando cerca de la medianoche pasaron los notarios
Quien salio del hotel de los "Tres Faisanes"
Les mostramos nuestro culo y nuestros modales.
Cantándoles:
Los burgueses son como cerdos.
Cuanto más envejece, más tonto se vuelve
Los burgueses son como cerdos.
Cuanto más envejece, más se vuelve...
Corazón cálido
Ojos en la cerveza
En casa de la gorda Adrienne de Montalant
Con el amigo Jojo
Y con el amigo Pierre
Íbamos a quemar nuestros veinte
Voltaire bailó como un vicario
Y Casanova no se atrevía
Y yo, yo que seguí siendo el más orgulloso
estaba casi tan borracho como yo
Y cuando cerca de la medianoche pasaron los notarios
Quien salio del hotel de los "Tres Faisanes"
Les mostramos nuestro culo y nuestros modales.
Cantándoles:
Los burgueses son como cerdos.
Cuanto más envejece, más tonto se vuelve
Los burgueses son como cerdos.
Cuanto más envejece, más se vuelve...
El corazón en reposo
Ojos a la tierra
En el bar del hotel "Trois Faisans"
Con el maestro Jojo
Y con el Maestro Pedro
Entre notarios pasamos el tiempo
Jojo habla de Voltaire
y pierre de casanova
Y yo, yo, yo que me quedé más orgulloso
Yo, yo, todavía hablo de mí
Y se va alrededor de la medianoche, Comisionado
Que cada tarde, desde el Montalant
Jóvenes peinadoras de culos nos muestran sus traseros
cantándonos:
Los burgueses son como cerdos.
Cuanto más envejece, más tonto se vuelve
Los burgueses son como cerdos.
Cuanto más envejece, más se vuelve...
Canciones en diferentes idiomas
Traducciones de alta calidad a todos los idiomas
Encuentra los textos que necesitas en segundos