A continuación la letra de la canción Dans les orphelinats Artista: Claude François Con traducción
Texto original con traducción
Claude François
Il y a, dans les orphelinats
Des cloches qui sonnent mais ne chantent pas
De grands arbres qui tendent au ciel leurs bras
Mais les oiseaux ne s’y posent pas.
Il y a aussi, dans les orphelinats, quelques poupées qui parlent
Mais ces poupées, elles, n’ont jamais dit «Papa… Maman…»
Il y a, dans les orphelinats, des murs grands comme l’Himalaya
Et des barreaux gros comme des séquoias
Et des portes lourdes comme des trois-mâts.
Il y a aussi, dans les orphelinats, quelques poupées qui rêvent
Mais ces poupées, elles, n’ont jamais dit «Papa… Maman…»
Il y a, dans les orphelinats, des vitres où l’on ne dessine pas
Et des pelouses où l’on ne marche pas
Et des cailloux qu’on ne lance pas.
Mais il y a aussi, dans les orphelinats, quelques poupées qui meurent
Mais ces poupées, elles, n’ont jamais dit «Papa… Maman…»
Dans les orphelinats, comme des prisonniers
Il y a des lits blancs avec des numéros
Et des poupées couchées qui crient en dormant.
Elles crient «Papa… Maman…»
Il y a des larmes sur les oreillers des poupées
Car les poupées, elles, savent toutes, toutes pleurer.
Ah !
Il y a des rêves qui passent sous les yeux fermés
Car les poupées savent toutes rêver.
Ah !
Il y a des yeux au ciel, des mains croisées
Car les poupées savent toutes prier
Car ces pauvres poupées pourraient aimer
Sauraient aimer… Pour être aimées…
Hay, en los orfanatos
Campanas que suenan pero no cantan
Árboles altos que extienden sus brazos hacia el cielo
Pero los pájaros no aterrizan allí.
También hay algunas muñecas parlantes en los orfanatos.
Pero estas muñecas nunca dijeron “Papá… Mamá…”
Hay, en los orfanatos, paredes tan grandes como el Himalaya
Y peldaños tan grandes como secoyas
Y puertas pesadas como tres maestros.
También hay algunas muñecas soñadoras en los orfanatos.
Pero estas muñecas nunca dijeron “Papá… Mamá…”
Hay ventanas en los orfanatos donde no dibujas
Y céspedes donde no caminas
Y guijarros que no tiras.
Pero también hay, en los orfanatos, unos muñecos que mueren
Pero estas muñecas nunca dijeron “Papá… Mamá…”
En orfanatos, como prisioneros
Hay camas blancas con números.
Y muñecos durmientes que gritan mientras duermen.
Gritan “Papá… Mamá…”
Hay lágrimas en las almohadas de las muñecas.
Porque todas las muñecas saben llorar.
¡Ay!
Hay sueños que pasan ante los ojos cerrados
Porque las muñecas todas saben soñar.
¡Ay!
Hay ojos en el cielo, manos cruzadas
Porque todas las muñecas saben cómo rezar
Porque a esas pobres muñecas les podría encantar
Sabría amar... Ser amado...
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