Deux dix cent - Odezenne

On était deux, dix, cent

Au vingtième siècle à peine

Levé d’mon lit, scène morbide zen

Attitude jean, whisky, flemme: portrait classique

Je l’aime

Mon bloc «locké"à triple tours, le cerveau bloqué

Un matin gris, un matin doux, elle m’attendrit elle a bon goût et m’a-t'on dit

on invente tout

(Dzzz)

J’bug

Ou j’suis piqué?

Des gens marchent sur des trottoirs déterminés

Déjà en marche il est trop tard c’est terminé

Faut que j’en sorte indemne

Fuir au galop

La vie m’porte ou m’mène mais j’ai la dalle au point que j’me trompe de

supports ou de béquilles

De loin j’me montre un peu fort et j’enquille

On était deux, dix, cent

On était deux, dix, cent

On était deux, dix

On était deux, dix, cent

Au vingtième étage à peine

Sorti de mon lit c’est l’orbite zen

Anéanti c’est leur but ça

Prendre une hauteur sur le butin et voir petit

Pendre sa chaleur pour une putain et voir ceci

Il fait froid, il fait gris mais c’est toi qui m’a dit

C’est étroit dans ta vie, cet endroit est petit

On s'étouffe, on se bouffe

On se trouve, on se perd

On se couve en hiver, au secours on s’y terre

(Pffff!)

Je m'égare dans de beaux draps

Une belle dort blême

Un regard danse je voudrais

J’crève dans mon «ni d’amour, ni de haine»

On était deux, dix, cent

On était deux, dix, cent

On était deux, dix

On était deux, dix, cent

(On était deux, dix, cent)

(On était deux, dix, cent)

(On était deux, dix)

(On était deux, dix, cent)

Éramos dos, diez, cien

Apenas en el siglo XX

Levantándome de mi cama, morbosa escena zen

Actitud jeans, whisky, pereza: retrato clásico

Yo lo amo

Mi bloqueo triple bloqueado, cerebro bloqueado

Una mañana gris, una mañana dulce, ella me ablanda, sabe bien y me dijo

lo inventamos todo

(Dzzz)

yo bicho

¿O estoy mordido?

La gente camina por aceras determinadas

Ya en es demasiado tarde se acabó

tengo que salir ileso

Huir

La vida me lleva o me conduce pero estoy tan enfermo que me equivoco

soportes o muletas

De lejos me muestro un poco fuerte e investigo

Éramos dos, diez, cien

Éramos dos, diez, cien

Éramos dos, diez

Éramos dos, diez, cien

Apenas en el vigésimo piso

Salí de mi cama, es una órbita zen

Destruido, ese es su objetivo

Toma un alto en el botín y piensa en pequeño

Cuelga su calor por una cogida y mira esto

Hace frio, es gris pero tu me dijiste

Está apretado en tu vida, este lugar es pequeño

Nos ahogamos, comemos

Nos encontramos, nos perdemos

Estamos meditando en invierno, ayuda que nos escondemos en él

(¡Pffff!)

Me pierdo en sábanas hermosas

Una belleza pálida duerme

Un baile de mirada que quisiera

Me muero en mi "ni amor ni odio"

Éramos dos, diez, cien

Éramos dos, diez, cien

Éramos dos, diez

Éramos dos, diez, cien

(Éramos dos, diez, cien)

(Éramos dos, diez, cien)

(Éramos dos, diez)

(Éramos dos, diez, cien)