La lune - Les Trois Accords

J’ai regardé ton auto rétrécir jusqu'à temps qu’elle disparaisse au loin

J’avais de l’eau dans les yeux et je ne disais rien

J’avais dans les mains le sac de linge sale que tu m’as laissé en souvenir

J’ai serré les poings je n’avais plus rien à dire

La lune éclairait ton cou quand le couvre-feu est passé

Dans la lumière jaune moyen doux tu m’as dit: «C'est le début de l'été»

Les larmes coulaient sur tes joues quand le couvre-feu est passé

Tu disais qu'à la fin du mois d’août tu reviendrais pour une autre année

Je porte parfois tes vêtements quand je recherche un peu de réconfort

Je me sens mieux quand ta camisole me pèse sur le corps

Et peu m’importe si mes genoux bloquent et si mes jambes sont comme des bâtons

Je me sens bien quand je marche dans ton pantalon

La lune éclairait ton cou quand le couvre-feu est passé

Dans la lumière jaune moyen doux tu m’as dit: «C'est le début de l'été»

Les larmes coulaient sur tes joues quand le couvre-feu est passé

Tu disais qu'à la fin du mois d’août tu reviendrais pour une autre année

Oh je sais que quatre mois ce n’est pas la fin du monde nous nous retrouverons

Mais quand je porte tes bijoux ça parait moins long

Et peu m’importe si les gens se moquent quand je porte ton costume de bain

Il épouse mes formes et m’avantage plus que le mien

La lune éclairait ton cou quand le couvre-feu est passé

Dans la lumière jaune moyen doux tu m’as dit: «C'est le début de l'été»

Les larmes coulaient sur tes joues quand le couvre-feu est passé

En attendant la fin du mois d’août j’aurais des bottes à talon dans les pieds

Te vi encogerse hasta que se desvaneció

tenia agua en los ojos y no dije nada

Tenía en mis manos la bolsa de ropa sucia que me dejaste de recuerdo

Apreté los puños, no tenía nada más que decir.

La luna iluminó tu cuello cuando pasó el toque de queda

En la suave luz amarilla media me dijiste: "Es el comienzo del verano"

Las lágrimas rodaron por tus mejillas cuando pasó el toque de queda

Dijiste a fines de agosto que volverías por otro año

A veces me pongo tu ropa cuando busco algo de comodidad

Me siento mejor cuando tu camiseta sin mangas me pesa

Y no me importa si mis rodillas se traban y mis piernas son como palos

Me siento bien cuando camino en tus pantalones

La luna iluminó tu cuello cuando pasó el toque de queda

En la suave luz amarilla media me dijiste: "Es el comienzo del verano"

Las lágrimas rodaron por tus mejillas cuando pasó el toque de queda

Dijiste a fines de agosto que volverías por otro año

Oh, sé que cuatro meses no es el fin del mundo, nos encontraremos de nuevo

Pero cuando uso tus joyas, parecen más cortas.

Y no me importa si la gente se ríe cuando uso tu traje de baño

Abraza mis curvas y me halaga más que a las mías.

La luna iluminó tu cuello cuando pasó el toque de queda

En la suave luz amarilla media me dijiste: "Es el comienzo del verano"

Las lágrimas rodaron por tus mejillas cuando pasó el toque de queda

Hasta finales de agosto tendré botas de tacón en los pies