La Violence (Featuring Soprano (Psy 4 De La Rime) - IAM, Soprano, Bruno Coulais
С переводом

La Violence (Featuring Soprano (Psy 4 De La Rime) - IAM, Soprano, Bruno Coulais

  • Альбом: Anthologie IAM 2008

  • Año de lanzamiento: 2008
  • Idioma: Francés
  • Duración: 3:54

A continuación la letra de la canción La Violence (Featuring Soprano (Psy 4 De La Rime) Artista: IAM, Soprano, Bruno Coulais Con traducción

Letra " La Violence (Featuring Soprano (Psy 4 De La Rime) "

Texto original con traducción

La Violence (Featuring Soprano (Psy 4 De La Rime)

IAM, Soprano, Bruno Coulais

Оригинальный текст

Y a quoi d’plus violent qu’une main qui s’lève

Sur une mère qui s’lève à l’aube pour habiller ses gosses

Le père rentre et s’traîne, instinct féroce

Victime de l'époque,

compression d’personnel

La boîte brasse des milliards et fait croire qu’elle sommeille

C’est violent, une femme de quarante ans qui bouge plus les épaules

À force de frotter l’sol

Y a tellement d’bordel dans la piaule

Qu’on revoit les leçons dans les halls

Et ils parlent d'égalité d’chances, putain c’est drôle, de quoi j’me mêle

Ils votent les lois après s'être rempli l’bide

Mais connaissent-ils la violence d’une assiette vide

Un cadre de vie sordide, fine cloison

Et quand en bas ça sonne, c’est souvent l’voisin qui répond

XXX les naïfs décrochent

La routine a tué les proches

Brutalement, où l’on t’ment comme Desproges

Alors qui croire, dis-moi, et qu’font nos foutus leaders

Quand les pauvres ingèrent des bombes alimentaires à Lidl

Subissent un véto des videurs

Et se retirent dépités, débiter des vannes, abrités

Sous le porche d’une cité ou d’une résidence

Peu importe s’ils nous voient pas dociles

C’est qu’les canines ont poussé à force d’ouïr «c'est pas possible»

Entre terre, enfer et paradis, nos pas oscillent

La brutalité qui envahit la ville doucement nous phagocyte

La violence, c’est ces jeunes qu’ont jamais connu d’G.A.V

Mais dont l’faciès en a fait baver

Jamais d’accrocs en cours, qui bossent comme des dératés

Qu’le pays dirige vite, dès l’premier ennui direct en C.A.P

C’est l’heure de dévoiler c’que bon nombre d’entre nous pensent

La vraie nature d’la violence

XXX d’envoyer un S.O.S

Des mots aux poings serrés, c’est pire qu’une XXX d’un CRS

Des graines qu’on arrose avec l’essence dès l’adolescence

Des chrysanthèmes offerts par la violence, la prouesse

D’agiter ses lèvres pour vous faire brouter

Tous ces huissiers du monde qui disent qu’l’Afrique est endettée

Ces graines mal arrosées dès l’adolescence

Deviennent des chrysanthèmes offerts par la violence

J’ai vu la violence dans l'œil d’un môme poché

Dans l’ecchymose laissée

Tendre legs d’un père, d’une vie morose glacée

J’l’ai vue enlacer vicieusement l’innocence

Prendre l’hostie et aller à confesse en quête de clémence

Le tout sans faire pénitence

Peser de tout son poids d’un côté d’la balance

Aux quatre coins de France comme à l’ANPE

Souvent le sourire n’est qu’apparence

J’l’ai vue terrasser les cœurs, enlaidissant les fois les plus pures

Parader crânement en char fait d’métaux les plus durs

Sûr dans l’allure, s’affichant ou crachant sur les murs

Cachant l’symbole gravé, nos raps XXX signe du futur

J’l’ai vue sombre, lourd silence quand la mort passe

Au bruit assourdissant, déchirant, quand l’amour casse

J’l’ai vue manuscrite, avis d’expulsion, et au même moment

Politiques sans aucune sanction ni même d’explication

J’l’ai entendue dans d’minables excuses faites à un garçon

Venant d’passer seize ans d’sa vie pour rien en prison

Dans l’savoir que certains à leurs gosses donnent

Leur faisant croire dès l’plus jeune âge

Que la couleur fait l’homme, pas c’qui bat dans sa cage

J’l’ai vue partout en tenue camouflage, fondue dans l’décor

Posant ses pièges invisibles, fondant sur les corps

Dans l’indifférence face à un gobelet vide

L’insolence d’un plan serré sur des p’tits ventres

Qui n’ont que le vide à gober

J’ai entendu son rire cynique sous la voûte résonner

Frappant l’aveugle sur les chemins de lumière jalonnés

XXX d’envoyer un S.O.S

Des mots aux poings serrés, c’est pire qu’une XXX d’un CRS

Des graines qu’on arrose avec l’essence dès l’adolescence

Des chrysanthèmes offerts par la violence, la prouesse

D’agiter ses lèvres pour vous faire brouter

Tous ces huissiers du monde qui disent qu’l’Afrique est endettée

Ces graines mal arrosées dès l’adolescence

Deviennent des chrysanthèmes offerts par la violence

La violence, c’est l’opé préméditée d’un gosse

Livré à lui-même, cherchant une famille pour accroche

En ayant la sienne sans l’savoir, croyant laisser un mort

Noyant l’Malin, dirigeant mal sa vie XXX et tenir

Face au temps qui l’bouffe, sans pouvoir fuir

La violence, c’est d’vouloir mourir à dix piges pour s’en sortir

La violence, c’est d’refuser d’croire qu’des gens souffrent

Qu’des gens s’perdent

Et qu’d’autres étouffent quand y a pas d’aide

La violence, c’est d’laisser crever des gens en hiver

Sans toit, sur le fer ou le béton, on peut pas rester clair

Et puis comment s’tenir

La vie prend l’dessus sur l’malheur

Car pour les mômes, c’est dans la rue qu’ils trouvent leurs valeurs

La violence, c’est d’laisser croire qu’ils sont sur l’bon chemin

En plus, parler d’eux comme une race à part d’chiens

La violence, c’est d’voir un politicard véreux qui s’en sort même mieux

Dirigeant nos efforts, demande pas XXX p’t-être mieux

On fait avec c’qu’on a car y a rien autour

Le rien on l’comble, mais la violence c’est devoir y rester sourd

Prétextant qu'ça pue dans les tours

Deals dans les cours, c’est nous qu’on s’goure

Pour l’instant, la violence, qui la savoure

On dirait qu’on est là pour le bien ou l’amour pour qu’le mal sorte

Et quand ça va pas, c’est les CRS à nos portes

Pour conclure, la violence dans c’cas est naturelle

On reste des humains et pas des animaux qu’on surveille

Перевод песни

¿Qué es más violento que una mano levantada?

De una madre que se levanta de madrugada para vestir a sus hijos

El padre entra y se arrastra, instinto feroz

víctima del tiempo,

reducción

La caja elabora miles de millones y finge dormir.

Es violenta, una cuarentona que ya no mueve los hombros

A fuerza de frotar el suelo

Hay tanto burdel en la habitación

Que repasemos las lecciones en los pasillos

Y hablan de igualdad de oportunidades, joder que gracioso, en que me meto

Votan las leyes después de haber llenado la barriga

¿Pero conocen la violencia de un plato vacío?

Un entorno de vida sórdido, pared delgada

Y cuando abajo suena, muchas veces es el vecino quien contesta

xxx la ingenua recogida

La rutina mató a los seres queridos

Brutalmente, donde te mienten como Desproges

Entonces, a quién creer, dime, y qué están haciendo nuestros malditos líderes.

Cuando los pobres ingieren bombas de comida en Lidl

Sufrir un veto de los gorilas

Y retirarse enfadado, escupiendo, abrigado

Bajo el porche de una ciudad o residencia

No importa si nos ven poco dóciles

Es que los caninos han crecido a fuerza de escuchar "no se puede"

Entre la tierra, el infierno y el paraíso, nuestros pasos vacilan

La brutalidad que invade la ciudad nos envuelve suavemente

La violencia son estos jóvenes que nunca han conocido G.A.V

Pero cuyo rostro lo hizo babear

Nunca un enganche en progreso, que trabajan como el infierno

Que el país gobierne rápido, desde el primer lío directo en la C.A.P.

Es hora de revelar lo que muchos pensamos

La verdadera naturaleza de la violencia.

XXX para enviar un S.O.S.

Palabras con los puños cerrados, es peor que un XXX de un CRS

Semillas que regamos con gasolina desde la adolescencia

Crisantemos ofrecidos por la violencia, la destreza

Para mover sus labios para hacerte rozar

Todos estos alguaciles del mundo que dicen que África está endeudada

Estas semillas mal regadas de la adolescencia

Conviértete en crisantemos ofrecidos por la violencia

Vi la violencia en el ojo de un niño escalfado

En el moretón dejado

Tierno legado de un padre, de una gélida vida taciturna

La vi abrazar con saña la inocencia

Toma la hostia y acude a confesarte en busca de clemencia

Todo sin hacer penitencia

Pon todo tu peso en un lado de la balanza

En los cuatro rincones de Francia así como en la ANPE

Muchas veces la sonrisa es solo apariencia

La vi aplastar corazones, afeando los tiempos más puros

Desfilando valientemente en un tanque hecho de los metales más duros

Seguro en miradas, alardeando o escupiendo en las paredes

Ocultando el símbolo grabado, nuestro XXX rapea el signo del futuro

Vi su silencio oscuro y pesado cuando la muerte pasa

Al sonido ensordecedor y desgarrador, cuando el amor se rompe

Lo vi escrito a mano, aviso de desalojo, y al mismo tiempo

Políticas sin ninguna sanción o incluso explicación

La escuché en una pobre disculpa hecha a un chico

Habiendo pasado dieciséis años de su vida para nada en prisión

En el conocimiento que algunos le dan a sus hijos

Haciéndoles creer desde una edad temprana

Que el color hace al hombre, no lo que late en su jaula

La vi por todas partes camuflada, derretida en el fondo

Colocando sus trampas invisibles, abalanzándose sobre los cuerpos

Indiferente a una taza vacía

La insolencia de un plan apretado en pancitas

Que solo tienen vacíos para tragar

Escuché su risa cínica resonar bajo el arco

Golpeando a los ciegos en los senderos esparcidos de luz

XXX para enviar un S.O.S.

Palabras con los puños cerrados, es peor que un XXX de un CRS

Semillas que regamos con gasolina desde la adolescencia

Crisantemos ofrecidos por la violencia, la destreza

Para mover sus labios para hacerte rozar

Todos estos alguaciles del mundo que dicen que África está endeudada

Estas semillas mal regadas de la adolescencia

Conviértete en crisantemos ofrecidos por la violencia

La violencia es una operación premeditada de niños

Abandonado a sí mismo, buscando una familia a la que aferrarse

Al tener la suya sin saberlo, pensando que se va de un muerto

Ahogando al diablo, desviando su vida XXX y sosteniendo

Frente al tiempo que se lo come, sin poder huir

La violencia es querer morir a los diez años para salir de ella.

La violencia es negarse a creer que las personas están sufriendo

Que la gente se pierda

Y otros se asfixian cuando no hay ayuda

La violencia está dejando morir a la gente en invierno

Sin techo, sobre hierro u hormigón, no podemos mantenernos alejados

Y luego como comportarse

La vida se hace cargo de la desgracia

Porque para los niños es en la calle donde encuentran sus valores

La violencia es hacer creer a la gente que está en el camino correcto

Además, habla de ellos como una raza aparte de los perros.

La violencia es ver a un político corrupto que lo hace aún mejor

Liderando nuestros esfuerzos, no pidas XXX tal vez mejor

Hacemos con lo que tenemos porque no hay nada alrededor

La nada la llenamos, pero la violencia es tener que permanecer sordos a ella

Afirmando que apesta en las torres

Tratos en los tribunales, somos a los que no les importa

Por ahora, la violencia, quien la saborea

Parece que estamos aquí por el bien o por el amor para sacar lo malo

Y cuando no va, es el CRS en nuestra puerta

Para concluir, la violencia en este caso es natural.

Seguimos siendo humanos y no animales que observamos.

Más de 2 millones de letras

Canciones en diferentes idiomas

Traducciones

Traducciones de alta calidad a todos los idiomas

Búsqueda rápida

Encuentra los textos que necesitas en segundos