Dis leur - Baden Baden

J’ai dans le coeur comme de l'écume

Et tes silences qui remontent

Ce soir finira dans la brume

A faire à l’aveugle les comptes

Bien consommer maintenant

Et comme une glissade superbe

Dans un virage si soudain

Que moi la nuit je fuis demain

Dis-leur

Dis-leur que moi j’ai de la peine

Et que ton ombre se promène

Dis leur, dis leur

Comme c’est injuste la trentaine

Et que ton ombre se promène

J’ai cru longtemps à l’art majeur

De finir cul sec les bières

C’est ça ou se dire tout le vide

Qu’il y a dans nos verres

Puisqu’on était adolescents timides

Tout se dire maintenant

Même si tout fini dans la brume

Et puis les clopes qui se consumme

Dis-leur

Dis-leur que moi j’ai mal dormi

Et que les gens ne sont plus mêmes

Dis-leur, dis-leur

Le vague à l'âme qui nous fume

Comme c’est injutes la trentaine

Dis leur, dis leur…

Dis-leur

Dis-leur que moi j’ai de la peine

Et que ton ombre se promène

Dis leur, dis leur

Comme c’est injuste la trentaine

Et que ton ombre se promène

tengo en el corazon como la espuma

Y tus silencios crecientes

Esta noche terminará en niebla

Haciendo cuentas a ciegas

comer bien ahora

Y como un soberbio tobogán

En un giro tan repentino

Que yo en la noche me escapo mañana

Diles

Diles que tengo dolor

Y deja que tu sombra deambule

Diles, diles

Que injustos los treinta

Y deja que tu sombra deambule

Creí durante mucho tiempo en el arte mayor.

Para terminar las cervezas de abajo hacia arriba

Es eso o contarnos todo el vacío

¿Qué hay en nuestros vasos?

Desde que éramos adolescentes tímidos

Dilo todo ahora

Incluso si todo termina en neblina

Y luego los cigarrillos que se consumen

Diles

Diles que dormí mal

Y la gente ya no es la misma

Diles, diles

La ola al alma que nos fuma

Que insultantes los treinta

Diles, diles...

Diles

Diles que tengo dolor

Y deja que tu sombra deambule

Diles, diles

Que injustos los treinta

Y deja que tu sombra deambule